Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Les polars du Matin Dimanche, la fin du monde est proche !

matin dimanche,polars,patterson,sas,de villiersNon Monsieur Descaillet, Peter et consort ne sont pas que des montreur d'images. Ils nous recommandent des livres ! Parfaitement !

 

Et  j'en veux pour preuve la sélection des polars du Matin Dimanche avec une sélection d'ouvrages édifiants qu'il faudrait lire avant la fin du monde prévue en 2012, dixit l'auteur de l'article. L'un d'entre eux ne serait rien d'autre que le dernier SAS de Gérard De Villiers. Les fous de Benghazi (tout un programme) qui serait, selon la journaliste « Aussi réaliste que terrifiant ». Alors je vous le dis tout de suite, je n'ai rien contre les SAS, mais quand même, qualifier les aventures de Malko le séducteur de réaliste... Je ne sais pas ce qu'ils boivent à la rédaction, mais ça doit être du bon !

 

Les cinq autres livres sont à l'avenant, avec le dernier James Patterson qui outre le fait qu'il publie des romans toutes les cinq minutes, a le grand mérite de figurer dans Forbes comme l'écrivain le mieux payé du monde (Ca c'est de l'information littéraire). Et on notera ce roman de « Richard Castle », héro d'une série TV, dont les producteurs ont voulu faire vivre davantage le personnage. Cela signifie que l'on ne connaît pas le ou les véritables auteurs de ce chef-d'œuvre. Méchante langue que je suis, je devine déjà la « qualité » du récit, sans même l'avoir lu : zéro pointé !

 

Il nous restera Donna Léon avec son commissaire Brunetti qui nous entraînera dans les brumes vénitiennes, les enquêtes victoriennes d'Anne Perry et les investigations scientifiques de Temperance Brennan, devenue le personnage principale de la série « Bones ».

 

Avec une sélection pareille nous pouvons attendre sereinement la fin du monde.

 

Bonne apocalypse !

 

 

 

Commentaires

  • Hihihi :-)

    Alors, ma sélection pour la semaine qui vient de s'écouler:

    Philip Kerr: Une douce flamme (cette fois, l'histoire ne se passe pas pendant la période nazi, mais par moitié pendant la République de Weimar et par moitié dans l'Argentine des années 50).

    Keigo Higashino: La maison où je suis mort autrefois (une ambiance pleine d'inquiétante étrangeté, comme souvent chez les auteurs japonais -voir à ce sujet, un roman comme "Le Chat dans le cercueil", de Mariko Koike- ).

  • "Alors je vous le dis tout de suite, je n'ai rien contre les SAS, mais quand même, qualifier les aventures de Malko le séducteur de réaliste..."

    En dehors de l'éternel bazar érotico-macho avec préférence déclarée pour le sexe anal, De Villiers a des compétences en journalisme que les journalistes actuels ont perdu depuis bien longtemps.
    Ce n'est pas par hasard que les responsables desk du CICR recommandaient la lecture du dernier SAS aux petits jeunes qui partaient sur le terrain. Le plus célèbre étant celui sur l'Afghanistan.
    De Villiers utilisait ou utilise, aucune idée, ses contacts avec les services secrets et se rendait toujours sur place. A la différence des journalistes qui écrivent depuis leur bureau en lisant Wikipedia...

Les commentaires sont fermés.